Le lait de jument est utilisé dans le post-traitement contre le cancer
Grâce à sa composition chimique et plus particulièrement sa teneur en protéines et en lactose, le lait de jument est, parmi toutes les sortes de lait connues, celui qui se rapproche le plus du lait maternel. Comparativement au lait d’autres espèces animales, sa teneur en graisse est très faible (1,3 %). De ce fait, beaucoup de personnes l’assimilent plus facilement que le lait de vache.
Le principal hydrate de carbone contenu dans le lait de jument est le lactose (6,3 % contre 7 % dans le lait maternel). Celui-ci améliore considérablement l’absorption de la nourriture par une résorption du calcium, du phosphore et du magnésium dans l’estomac et les intestins. Associées aux vitamines, aux minéraux et aux oligoéléments, les teneurs élevées d’éléments protéiques dans le lait de jument régénèrent les cellules hépatiques endommagées.
La part que représente l’utilisation dans des dispositifs médicaux en chirurgie cardiovasculaire
Une grande diversité de matériaux biologiques et synthétiques est utilisée pour réparer la dure-mère. Chacun d’entre eux a d’importantes restrictions. Les autogreffes sont disponibles dans une mesure limitée et nécessitent des incisions et interventions chirurgicales. L’utilisation de préparations et matériaux hétérologues accroît le risque de contamination iatrogène de prions tandis que les alternatives synthétiques provoquent parfois des inflammations ou rejets. Une membrane issue d’un péricarde d’origine équine (c’est-à-dire provenant du cheval) a été mise au point et adaptée à des applications neurochirurgicales au moyen d’interventions de pointe.